Capter et stocker l’énergie : les barrières

Les murs sont parfois mal vus :

Ils enclosent les esprits et freinent la libre circulation du mouvement, de la nature.

Pourtant les barrières sont LA solution pour implémenter le second principe de permaculture de David Holmgren, juste après Observer et interagir :

🧲 Capter et stocker l’énergie

Distinction de certains facteurs de l’environnement

A quoi servent les barrières ?

Comme mentionné dans mon article Comment devrait-être un jardin , il est très important de décrire des zones .

Conceptuellement, on peut les nommer et les identifier facilement.

Matériellement, les barrières changent les conditions initiales de l’environnement, dans un espace donné : une zone.

Voici une liste non-exhaustive des conditions que différents types de barrière peuvent modifier :

En faisant un pas de recul, on s’aperçoit comme les barrières participent à créer des écosystèmes.

Parce qu’elles exposent de nouvelles surfaces, qu’elles sont occupées ou décomposées, elles peuvent multiplier la vie (masse organique) présente.

Autant une haie qu’un muret en pierre.

Au jardin c’est le cas des supports verticaux (trépieds, tiges …) ou du paillis.

N’achetez pas de barrière !

Les barrières peuvent emprunter de nombreuses formes, je vais vous en présenter quelques unes.

Mais je voulais dire qu’il existe plein de déchets (gratuits) ou de produits de faible valeur aux yeux de certains qui peuvent en avoir une grande aux nôtres.

Rien ne sert d’acheter, il suffit de glaner.

Bien entendu, les plus locales sont celles à privilégier, et on ne collectera que le surplus : ce qui n’est pas utile pour l’écosystème auxquelles elles appartiennent.

Parmi ces ressources qui font de très bonnes barrières, on peut citer :